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Un week-end pour percevoir ce qui nous semblait invisible…

Arts numériques Publié le 12/03/2020

Fermeture complète de Stereolux à compter du dimanche 15 mars
Suite à l'allocution du Premier Ministre du samedi 14 mars et dans le cadre des mesures de santé publique prises pour lutter contre l'épidémie de Coronavirus, Stereolux est entièrement fermé au public à compter du dimanche 15 mars. 
Nous vous tiendrons plus précisément informés dans les jours qui viennent.
Merci de votre compréhension. 
L'équipe de Stereolux

Des portraits de personnes le plus souvent invisibilisées par la société, un ballet de gouttes d'eau portées par des fréquences sonores, une lumière sujette à la pesenteur, des tableaux générés par la trajectoire des satellites, de nouvelles perspectives normalement inaccessibles... les installations et exposition présentées dans le cadre du temps fort IN·VISIBLE(S) invitent à porter un autre regard sur le monde qui nous entoure. 

Photos ©David Gallard

 

Exposition présentée en Plateforme Intermedia : 

the weight of light, de Martin Hesselmeier / Andreas Muxel : comment représenter la masse et la gravité de la lumière ? Cette création singulière déjoue les lois de la physique en en proposant sa propre interprétation. A travers leurs mouvements lumineux et leurs fréquences sonores, chacune de ces particules nous invite à questionner notre perception de la lumière et à observer la manière dont les artistes se plaisent à l'interpréter.

 

Installations proposées dans les salles Multi du 4e étage : 

Bloom, de Tristan Menez : une expérience permettant de percevoir l’effet des fréquences sonores sur une matière liquide. Un ballet de gouttes d’eau en suspension fait apparaître une fleur naissante dont la corolle s’épanouit.

 

Orbits, de Quadrature : cette installation dévoile avec esthétisme la présence des satellites souvent invisibles à l’oeil nu. A partir de données de l’US Air Force et des sources d’observateurs amateurs, Orbits génère des tableaux de trajectoires de ces appareils.

 

Exposition proposée dans le Hall de Stereolux : 

Moi, centre du monde, de Pierre Gufflet & Laurent Mareschal : conçue pour l’occasion, cette installation invite à ouvrir de nouvelles perspectives - normalement invisibles depuis notre position géographique - sur le monde qui nous entoure.

 

Nous, les invisibles ?!, d'Adeline Praud : à l’invitation de Stereolux, la photographe nantaise présente une série de portraits de personnes le plus souvent invisibilisées par la société : immigrants, publics en situation de précarité, de handicap... A ces portraits, la photographe adosse les témoignages recueillis durant ces rencontres.

 

L'album photo complet des installations d'IN·VISIBLE(S)