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jeu. 18 févr. 2021 20H00

Les Nuits de l’Alligator : Left Lane Cruiser + Dirty Deep

Annulé
En fonction de l'évolution des conditions sanitaires, ce spectacle est susceptible de modification
STEREOLUX Salle Maxi Placement libre Assis
Tout assis gradin
Organisateur : Stereolux

ANNULÉ
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Nouvelle session du festival itinérant, les Nuits de l’Alligator vous offre sur un plateau le blues sale et lourd des Américains de Left Lane Cruiser et le blues du bayou des Français de Dirty Deep. C’est l’authenticité qui coule dans les veines de cet alligator là !

Left Lane Cruiser (US)

Dans l'imaginaire commun, le Midwest, ce sont des rêves de terres vierges et immenses, des fleuves capricieux, les Grands Lacs, des hobos, le départ de la route 66, des châteaux d'eau comme autant de sentinelles perdues dans des champs à perte de vue et traversés par des pick-up déglingués...

C'est de ce Midwest rural, à moitié fantasmé par le cinéma et la littérature, qu'est issu Left Lane Cruiser, combo emmené par Fredrick « Joe » Evans (quatrième du nom), guitariste hors pair et littéralement habité, qu'on ne voit jamais sans un banjo ou une guitare à la main. Il faut dire qu'il y a quelque chose de fusionnel dans ce blues-rock (« heavy dirty blues », selon les intéressés) joué avec l'âme et les tripes au fil de concerts qui souvent partent en vrille façon jams freestyle, avec en sus une bonne dose d'énergie punk. De la musique considérée comme pur instinct. 

Dirty Deep (Fr)

Le power trio actuel était à l'origine le projet solo du Strasbourgeois Victor Sbrovazzo, qui, parce qu'il ne trouvait pas autour de lui des musiciens qu'intéressaient le blues, s'était inventé en one-man band, suite à une épiphanie musicale à base de blues donc, et d'harmonica. Depuis, Dirty Deep sort des disques avec une régularité d'horloge franc-comtoise : le dernier en date, Foreshots, approfondit toujours le sillon d'un blues épais de vie, généreux et suintant le bayou ; qui emprunte au stoner, au heavy, à la folk, au gospel. Une musique qui ne se soucie ni d'authenticité, ni de modernisme, mais se trouve être l'expression de sa propre nécessité. Parce qu'elle vient de là.