La Yegros + Caribombo
Sa musique est à l’image de la cosmopolite Buenos Aires d’où elle vient : exubérante et colorée. Un voyage hybride entre cumbia et electro avec un détour par le hip-hop. L’indétrônable reine de la nu-cumbia est un remède vivace à la mélancolie.
La Yegros (AR)
Papa était très chamamé, maman plutôt cumbia – elle préfère mixer ces deux genres typiquement sud-américains, eux-mêmes mélanges d'un héritage musical indien et d'éléments européens. Elle, c'est Mariana Yegros, dite La Yegros (prononcez « tchégross »), qui n'a pas mis longtemps à se faire une place de choix sur la scène electro-tropicale de Buenos Aires, sa ville natale, avant d'enjamber allègrement les frontières nationales avec un premier album, Viene de mí, qui ensoleilla les ondes il y a tantôt six ans, suivi de Magnetismo et de Suelta, publié récemment. Force est d'admettre que son syncrétisme musical – mélodies traditionnelles mais sonorités résolument actuelles, et un flow généreux qui flirte avec le hip-hop – a de quoi faire chavirer les corps et les cœurs, et cette sensualité caressante, particulière à la langue espagnole, qui donne envie instantanément de se déhancher, de chalouper, de s'électriser, voire plus si affinités...
Caribombo (Nantes)
De père colombien et de mère vénézuélienne, Carlos Guillén, percussionniste, DJ et producteur musical originaire de Maracaibo (Venezuela) vient de poser ses valises en Loire Atlantique.
Carlos est un artiste versatile qui a participé à de nombreux projets internationaux tels que : Mango Funk, Don Beto et La Gallera Social Club. Sa carrière musicale lui a permis de développer un son unique sur la scène tropical bass en explorant les rythmes afro-caribéens et latino-américain fusionnés à la musique électronique.
Avec son live machine, Il va ouvrir la scène devant La Yegros et ceci pour la troisième fois puisqu’il a déjà fait leur première partie a Caen et à Rouen.
