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dim. 12 nov. 2023 18H00

Doc’N’Co I David Bowie : Documentaire “L’Homme Cent visages” + Concert Ziggy Stardust par Léonie Pernet

Terminé
STEREOLUX Salle Maxi Placement libre Assis
Organisateur : Stereolux

Ce nouveau Doc’N’Co nous emmène sur les traces de Bowie. Avec le documentaire du nantais Gaetan Chataignier qui dresse le portrait de l’anglais autour du mythique studio-château d’Hérouville et un concert de Léonie Pernet qui revisite l’album culte Ziggy Stardust avec une liberté qui n’oublie jamais le respect.

Documentaire : David Bowie, l’homme cent visages ou le fantôme d’Hérouville

Le fantôme de David Bowie hante toujours le château d’Hérouville, mythique studio d’enregistrement créé par le compositeur de musiques de films Michel Magne en 1969. C’est là que la star vint s’enfermer à plusieurs reprises dans les années 1970. Entouré d’Iggy Pop, de Brian Eno et du producteur Tony Visconti, Bowie y conçut de nuit les sonorités étranges et futuristes de l’album Low (1976), avant d’être rattrapé par les démons de la drogue et de s’envoler pour Berlin.

Tourné à Hérouville, ce périple prend la forme d'un mélange d'images d'archives, d'extraits de concerts et de témoignages d’artistes. Le documentaire donne la parole aux acteurs et actrices de l’époque, comme l’ingénieur du son Dominique Blanc-Francard, et redonne vie à ce lieu exceptionnel grâce à des reprises filmées des chansons de Bowie par Lou Doillon, Barbara Carlotti ou encore Jeanne Added.

Réalisé par Gaëtan Chataigner - Écrit par Christophe Conte, Gaëtan Chataigner
France - 2015 - 70 minutes

Ziggy Stardust par Léonie Pernet

2033 : l’humanité n’a plus que 5 ans à vivre. Extraterrestre non-binaire, Léonie Stardust est partie se réfugier au Niger, alors que l’Afrique est désormais un corps céleste orbitant autour du soleil. Mais iel revient pour porter un message d’espoir. Après ses deux superbes albums d’electro-pop onirique, la touche-à-tout Léonie Pernet entend livrer une réinvention rétro-futuriste, voire afro-futuriste, du chef d’œuvre de David Bowie. Pour mieux endosser un costume vieux de 50 ans. Sans sacraliser ni trahir, elle fera redécouvrir ce qui fait la magie du disque, en le passant au tamis de ses synthétiseurs et percussions. Car il faut savoir sortir des évidences et des schémas classiques pour retrouver cet équilibre d’exigence, d’audace et d’immédiateté qui a rendu le disque mémorable. Et que la jeune musicienne sait parfaitement incarner.

Une création initiée et produite par le Printemps de Bourges.