Natalie Bergman + Coconut
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Petite protégée de Jack White qui l’a signé sur son label Third Man Records, la jeune américaine incarne une soul sixties parfaite baignée de mysticisme et teintée de folk, gospel et country, avec une voix qui tutoie les étoiles.
Natalie Bergman (Usa)
« Un temps pour se lamenter et un temps pour danser (…), un temps pour chercher et un temps pour jeter » : la blonde, longiligne et évanescente Natalie Bergman pourrait, quant à son parcours et à son inspiration, faire siennes ces paroles de l'Ecclésiaste. Un récent drame familial la jette en effet dans les affres d'une quête spirituelle, qui elle-même détermine sa nouvelle orientation artistique : délaissant Wild Belle, le duo folk qu'elle formait avec son frère Elliot, la jeune femme écrit Mercy, album de deuil et de foi. Que l'on se rassure : rien à voir avec la « musique chrétienne », cette sous-culture fade, morne et stéréotypée, qui fait florès aux États-Unis : la créativité de la jeune femme, nourrie de gospel, de soul et de folk, lorgnant volontiers du côté de l'exotica et de la pop-folk 60s, ne se préoccupe de rien d'autre que d'elle-même, et des moyens de son expression (comme, outre la musique, la sculpture et les arts graphiques). Collage musical et expérience mystique de pure subjectivité, Mercy serait-il son chemin de Damas à elle ?
Coconut (Saint-Nazaire)
Une sensibilité, un amour pour l’océan, deux alter ego. Louis Roms et Marine Pichot marient leurs timbres pour un duo guitares-voix aux sonorités pop folk des années 70, surfant sur une vibe indie pop à l’aspect solaire, amical et parfois nostalgique.
