Astéréotypie

+ ChaRpie
After gratuit
Production : STEREOLUX/Songo
STEREOLUX, Salle Maxi • Placement libre – debout (balcon assis non garanti)
Carte Stereolux

Croiser le collectif Astéréotypie, ça secoue. Composé de MC vedettes neuro-atypiques à l’écriture brute et à la poésie authentique, qu’ils mêlent à des sonorités post-punk, noise et electro aux jolies mélodies, ce groupe (d)étonnant explose par son intensité affective et authentique.

Pour les personnes déficientes visuelles, ce concert est proposé en audiodescription par Jérémy Tourneur. 

Réservez votre billet pour l'audiodescription directement auprès de Jérémy au 06 28 84 41 06

Astéréotypie
Mathieu Zazzo
 

Astéréotypie
(FR)

Ça ne devait durer que quelques heures, ça fait quinze ans que ça dure : d’un simple atelier d’écriture mené avec des personnes autistes dans un IME d’Ile-de-France, Christophe Lhuillier a vu surgir un groupe. Avec l’adjonction de quelques musicien·nes, il est devenu groupe de rock, et même phénomène : Astéréotypie défend une musique puissante par sa forme et aérienne par son propos. Le rock se pare, depuis qu’il est plongé dans le surréalisme et la candeur de ses auteur·es-chanteur·ses, d’une nouvelle dimension, entre le potache et le dada. Aucun mec ne ressemble à Brad Pitt dans la Drôme, apprenait-on avec jubilation en 2022. Aujourd’hui c’est dans la ferveur et l’excitation que l’on se prépare à recevoir sur scène Patami, troisième album qui ne lésine ni sur l’electro punk ni sur les révélations croustillantes : “Les orques adorent le foie de requin”.

ChaRpie

ChaRpie
(Nantes)

Duo fondé en 2021 dans les marais du Pays de Retz (44) par Eddy Schatz au chant et Grand Chlem aux machines, le duo balance des sons bruts qui s’encastrent dans des textes en français crus et sans compromis.
Des boucles et des mots sortis d’une cave, un mercredi de séchage de cours ou d’un retour de soirée aux environs de 13h12. Entre slogans dansants et récits de dérive post-fête, on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a, mais on le fait fort. “Une révolution en dansant” disait Goldman (Emma, pas JJ), une célébration de la musique comme évasion et comme cri du cœur, dans la lignée de l’esprit de rébellion festif des années 80.