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sam. 10 nov. 2018 20H30

Agar Agar + Saint DX

Terminé
Tarif sur place : Exonéré 0€ | Structure relais 2€ | Guichet 20€
Le concert d'Agar Agar initialement prévu en salle Micro est déplacé en salle Maxi. Les horaires et tarifs restent inchangés. Les billets précédemment achetés restent valables. Pour toute question n'hésitez pas à contacter la billetterie > lucie.dahan@stereolux.org // Une petite faim ? Le foodtruck AMIR sera présent sur la terrasse
STEREOLUX Salle Maxi Debout
Placement libre debout
Organisateur : Stereolux

Avec une pop acid et synthétique aux accents technoïdes, le duo fer de lance de Cracki records est prêt à envahir les scènes européennes, soufflant un vent de fraîcheur qui vous laissera exsangue et hagard, assurément, assurément….

Agar Agar (Fr)

L'enthousiasme général qui avait accompagné la sortie de son premier EP, Cardan, avait fait d'Agar Agar “ze next big thing”, la sensation electro-pop dont d'aucuns prophétisaient monts et merveilles. Sans que cela ne modifia en rien la modestie d'Armand et de Clara, ni leur désinvolture, et encore moins la fraîcheur de leur approche de la création, parfaitement intuitive et ludique : des machines, une voix qui joue les équilibristes, de l'acid disco et de la pop synthétique, des envies technoïdes... Tout ici est affaire de mélanges et de proportions, d'énergie et d'envies, de méticulosité et de lâcher prise, d'amusement aussi. Le duo parisien cultive son goût de l'expérimentation comme son identité visuelle (quoi de plus normal pour d'anciens étudiants aux Beaux-Arts ?), et s'apprête à sortir un premier album – et, par la même occasion, à avaler le monde, tous crocs dehors.

 

   

 

Saint DX (Fr)

Aurélien Hamm, ex-membre du groupe Apes & Horses, a ainsi baptisé son projet solo en hommage au synthétiseur Yamaha DX7 dont les sonorités ont inondé la musique des années 80-90 de manière fulgurante. En maniant les fameux presets de l’instrument, il développe une musique directe et émotionnelle qui s’adresse à l’imaginaire nostalgique, inconscient ou rêvé d’une génération qui a grandi en écoutant les bandes originales d’Eric Serra et les disques de Sade et de Riuychi Sakamoto. Oscillant entre les textures du synthétiseur et le timbre organique du saxophone,textes anglais et français se laissent porter par une même voix, profonde et fragile.