Logo Stereolux
1=2
jeu. 03 mars 2022 20H00

Doc’N’Co I Leonard Cohen : Printemps 96 · Concert de H-Burns & The Stranger Quartet

Terminé
Tarif sur place : Guichet 15€
POUR LES DÉTENTEURS DE LA CARTE STEREOLUX : 1 place achetée / 1 place offerte (La place offerte vous sera remise au guichet le soir même, sur présentation de votre billet et de votre carte Stereolux en cours de validité)
STEREOLUX Salle Maxi Placement libre Assis
Organisateur : Stereolux

Avant votre venue, consultez nos conditions d’accueil :

VOUS ACCUEILLIR DANS LE CONTEXTE COVID-19

Quatrième volet du cycle Doc’N’Co autour de Leonard Cohen : un documentaire  datant de 96, portrait intimiste de la légende folk, suivi du concert de H-Burns & The Stranger Quartet, magnifique hommage du musicien français au songwriter montréalais.

Documentaire : Printemps 96, Un film de Armelle Brusq

France | 1998 | 52 minutes | Digital vidéo

Printemps 1996, Californie. De la quiétude d'un monastère zen à celle d'un studio d'enregistrement, de l'ordinateur au synthétiseur, et du silence au rire, Armelle Brusq nous balade à la découverte d'un homme dont le regard sur la vie est passionnant, le tout agrémenté de ses meilleures chansons. Jamais Leonard Cohen n'a offert de lui des images si familières. Un portrait intimiste tourné en Californie au printemps 96. Un mois auprès du moine zen qu'il est devenu, du chanteur, du poète, de la star et de l'homme en équilibre au-dessus de ses gouffres qu'il est resté. 

H-Burns & The Stranger Quartet (Fr)

2016, annus horribilis : à quelques mois d'intervalle disparaissaient deux géants, David Bowie et Leonard Cohen, deux artistes polymorphes, envoûtants, adulés, plusieurs fois réincarnés au cours de leurs carrières respectives. C'est au troubadour canadien – poète mystique, chanteur habité, mais également peintre et romancier –, dont les chansons le hantent depuis toujours, que le musicien H-Burns a choisi de rendre hommage – exercice combien périlleux si l'on veut éviter la copie servile comme la récupération démagogique. Avec Burns on the Wire, H-Burns s'attaque donc à une citadelle, presque un sanctuaire, mais avec sa sensibilité et son esthétique propres, réarrangeant, avec une sobre élégance, certaines sections, préférant, pour plusieurs titres, le français à l'anglais ; s'entourant d'un quatuor à cordes et recréant à sa façon l'aura lumineuse et crépusculaire émanant des compositions de l'auteur de Chelsea Hotel et de So long, Marianne. Tant il est vrai qu'on n'en aura jamais fini avec certains artistes...