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sam. 12 mars 2022 20H00

Mansfield.TYA + Gwendoline

Terminé
Tarif sur place : Guichet 17€
STEREOLUX Salle Maxi Placement libre Debout - assis non garanti
Placement libre debout
Organisateur : Stereolux

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Julia Lanoë et Carla Pallone forment leur duo au début des années 2000 à Nantes. Depuis elles se baladent avec un précieux équilibre entre expérimentations et formats pop, lumière et pénombre, mélancolie et uppercuts et poésie et fureur; sans jamais perdre leur âme.

Mansfield.TYA (FR)

Il est des rencontres avec des œuvres ou des artistes qui, pour rares qu'elles soient (et précisément pour cette raison), s'apparentent aux Phares de Baudelaire : elles modèlent, poétisent et hantent notre univers mental et esthétique. Ma première rencontre avec Mansfield.TYA se fit à la Barakason, pour la sortie de June ; la rumeur déjà enflait, l'album intriguait, une étrange séduction se diffusait. Sur scène, deux diamants noirs, le feu sous la glace, une fébrilité rageuse et, déjà, une lumineuse complicité ; quelque chose de solaire, dense, irradiant. Un minimalisme folk-punk à vif. Une écriture en coups de poignard. Une claque. Puis vinrent trois autres albums tout aussi incandescents, un auditoire subjugué, une ample reconnaissance.  D'erratiques retrouvailles au gré des concerts nantais, des vodkas à la violette, le charme magique d'un duo, son alchimie active. Puis encore six années d'attente avant l'annonce du successeur de Corpo Inferno (entre-temps, beaucoup de nouveaux projets pour chacune d'elles). Enfin, Mansfield.TYA revient nous hanter. 

Gwendoline (FR)

Gwendoline, est un duo antihéros de la scène indé rennaise. Loosers sensibles et grands blasés de la start up nation, Micka (nantais) et Pierre (rennais) façonnent leur propre style, une shlag wave sombre dans un chanté-parlé percutant et poétique avec pour source première d’inspiration les discussions de comptoir, en regardant celles & ceux qui les entourent. Entre textes fatalistes, auto-dérision, sarcasmes et amertume de la médiocrité du monde, leur cold-wave sincère et désenchanté donne paradoxalement l’envie d’espérer.