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mer. 14 mars 2018 20H30

Frank Carter & The Rattlesnakes + Demob Happy + Woes

Terminé
Tarif sur place : 16€
Suite à la demande importante pour le concert de Frank Carter (salle Micro déjà complète), cet événement est transféré en salle Maxi. Le jour et l'heure de la représentation sont inchangés.
STEREOLUX Salle Maxi Debout - assis non garanti
Placement libre debout
Organisateur : Stereolux

le mot du programmateur

L’Anglais tatoué et ses serpents sauvages délivre un punk-rock énergique et ultra maîtrisé, mais qui n’aurait sans doute pas la même saveur sans les prouesses de Mr Carter, frontman impressionnant et littéralement en feu !

Frank Carter & the Rattlesnakes (GB)

Il y a de ces enfants terribles, bad boys au grand cœur, dandys teigneux, rockers écorchés, aussi emplis de rage que couverts de tatouages, qu'affectionne Albion. Frank Carter est de ceux-là. L'ancien frontman de Gallows, groupe de hardcore acclamé sur ses terres, puis de Pure Love (bien moins énervé, comme en témoigne son nom) s'est entouré de pistoleros affûtés pour former The Rattlesnakes, combo promis aux plus hautes destinées. Si la fureur liminaire de Carter semble s'être quelque peu estompée, sa fougue est intacte, qui insuffle à Modern Ruin, deuxième album en date des crotales, une énergie prodigieuse, même si moins agressive que celle du précédent Blossom. C'est du punk-rock revêche, mais à la production léchée ; ce sont des riffs mordants mais une musicalité ouverte à d'autres horizons, des compos sans fioritures mais accortes, qui font le pari d'être consensuelles et intransigeantes tour à tour. Sans compter que Carter est un performeur hors-pair, versatile, fielleux, charismatique en diable. Il est l'heure de faire parler la poudre.

    

Demob Happy (GB)

Né en 2008 dans les entrailles de Newcastle, le quatuor a depuis, posé ses valises dans la paisible ville de Brighton. Le groupe n'a pas pour autant perdu sa verve contestataire. Armé de guitares électriques, il s'est fixé pour mission de lutter, à coups de riffs aussi tranchants que déjantés, contre « la médiocrité culturelle et la complaisance politique » dans lesquelles baigne, à ses yeux, le royaume d'Elisabeth II. Avec des influences aussi diverses que Nirvana, Queens Of The Stone Age ou Royal Blood, leur premier album a de quoi faire saliver plus d'un amateur en quête d'adrénaline. Le rock progressif qu'il propose se débarrasse, sans fioritures, des artifices classiques pour laisser place à un son acide, féroce et audacieux.

Woes (Ecosse) :

Adoubé par Neck Deep, le quatuor d’Edimbourg est également soutenu par Frank Carter qui voit en eux (comme beaucoup) le futur du pop-punk écossais !