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mer. 22 janv. 2020 19H30

B!SE Festival

Atoem + Octave Noire + Sara Zinger + Di#se + Carnival Youth + Theophile + Philémone + Morgane Imbeaud + It’s Sunday + Mauvais Œil

Terminé
Tarif sur place : Exonéré 0€ | Structure relais 2€
FOODTRUCK : Qrep' sera présent toute la soirée sur la terrasse !
Stereolux & Trempolino Maxi - Micro - Trempolino Debout
Debout placement libre / Selon les capacités d'accueil des salles, l'accès peut vous être refusé si la jauge maximale est atteinte.
Organisateur : Stereolux VADYM

Nouveau venu dans le paysage des festivals de showcases français, la première édition du B!SE festival se déroulera les 21 et 22 janvier 2020 à Nantes.
En parallèle des Biennales Internationales du Spectacle (événement rassemblant les acteurs du spectacle vivant et de l’industrie musicale), le B!SE festival s’adresse aussi bien aux professionnels de la musique qu’au public, et se positionne comme un nouveau rendez-vous de découvertes musicales en plein coeur de la cité des Ducs !
Le B!SE festival est organisé par l’association VADYM, composée des structures À Gauche de la Lune, Daydream Music, Mélodyn, V.I.A. et Yotanka.
 

 

LE TOUT NOUVEAU B!SE FESTIVAL PAR DEUX DE SES PROGRAMMATEUR·RICE·S

Atoem (FR)

Stereolux - Salle Micro

ATOEM est un duo de machinistes dont les explorations sonores plongent dans un océan de symphonies analogiques et spatiales. L’enfant ATOEM naît dans le cosmos rennais. Il est le fruit d’une union charnelle entre Brian Eno et les floyds, sous l’aura d’une techno perçante. C’est un live atypique que le duo propose, les machines vivent, les guitares hypnotisent et la scène vibre au rythme des percussions. Hardware fetish, leur setup n’est pas sans rappeler l’instrumentation d’une station orbitale. La recherche expérimentale les entraîne aujourd’hui à concevoir leurs propres synthétiseurs modulaires et autres engins sonores. C’est de leurs mélodies profondes et acides séquences qu’ils font s’arrêter le temps.

Octave Noire (FR)

Stereolux - Salle Micro

C’est d’abord l’Afrique qui éveille le jeune Octave Noire à la musique : il a vécu ses dix premières années en Côte d’Ivoire. Tout enfant qu’il était, il n’envisageait pas sa vie d’adulte autrement que bercée de musique. Ses parents finissent par lui offrir un petit synthétiseur jouet : il ne sait pas le solfège mais reproduit à l’oreille ses mélodies préférées. Dix ans de cours de piano plus tard, le voilà conforté dans ses premiers désirs. Il sera musicien. D’où le cursus de musicologie qu’il suit à la Sorbonne. Malgré tout, cet apport académique ne colle pas vraiment avec ses goûts du moment. L’électro expérimentale de Kraftwerk comme le synthé de Jean-Michel Jarre lui trottent dans un coin de la tête, de même que quelques dignes représentants de la chanson française, surtout Jacques Higelin. Octave Noire a longtemps bidouillé avant de trouver son style, qu’il veut maintenant ouvert et accessible. Sa musique, une électro-pop ample et puissante, projette illico ses images au fond de nos cerveaux.

Sara Zinger (FR)

Trempolino​

La DJ et productrice, newcomer de la scène française symbolise avec talent et charisme la force de persévérance d’une jeune génération électro se réinventant en permanence.
Avec son sens du look quasi inné, sa légitimité profondément ancrée dans la scène musicale underground et ses nouvelles chansons prêtes à élargir ses horizons, Sara Zinger n’aura pas trop à forcer sa nature pour s’afficher comme une authentique icône contemporaine.

Di#se (FR)

Stereolux - Salle Maxi

En voyant DI#SE sur scène ou dans ses clips, difficile de s’imaginer que le rappeur n’a que 17 ans. C’est normal : une maturité bluffante, une prestance, des textes qui marient introspection et ambiancement… DI#SE est définitivement un jeune homme de son époque. Après avoir remporté la finale nationale du dispositif Buzz Booster en mai 2017, le jeune Quimpérois part maintenant à l’assaut d’un public plus large accompagné par Jinbey (backs) et Romain Jovion (drums). Un projet qui cherche à mettre en valeur toutes les facettes de son rap : séducteur, créatif et lourd. Nourri au R&B, le flow de DI#SE est mélodique, précoce et surtout taillé pour 2019. L’avenir est à lui.

Carnival Youth (LT)

Stereolux - Salle Maxi

Groupe formé en Lituanie en 2012 par des amis lycéens, Carnival Youth s’illustre rapidement au sein de la scène indie lettone, en mêlant allègrement des paroles catchy à l’énergie du rock et aux structures mélodiques de la pop. Leur réputation scénique grandit vite et bien, et le groupe tourne dans nombre de festivals réputés en Europe (The Great Escape au Royaume-Uni, Sziget en Hongrie, Reeperbahn en Allemagne, Eurosonic aux Pays-Bas…). Soutenu par le réseau EMEE, Carnival Youth fera une apparition forcément remarquée au BISE festival !

Theophile (FR)

Trempolino​

Theophile se voit en ”compositeur de chanson française aux sonorités nouvelles”. Son projet solo a d’emblée séduit : textes à l’ambitieuse poésie, sens de la mélodie qui vous reste en tête, production exigeante et décomplexée. Aujourd’hui, le voici initiateur d’une nouvelle mue de la pop francophone. Avec un lyrisme contenu à la Dominique A ou à la Bertrand Belin, des arrangements panoramiques à la Woodkid et une production travaillée avec Nino Vella (notamment quart de Babel), Théophile se dévoile, aussi profond dans l’introspection qu’acéré dans son regard sur l’époque. La récente sortie de son premier EP devrait le mener sur toutes les routes !

Philémone (Nantes)

Seule sur scène, avec sa voix et ses machines, Philémone porte haut les couleurs d’une pop percutante, qui bouillonne et captive. Entre chanson et spoken word, cette jeune artiste à fleur de peau soigne des textes incisifs, lucides et pleins de vie, entre balades poético-cyniques et hymnes rythmés, elle multiplie les explorations sonores électroniques et vocales pour créer un univers unique, à la croisée des mondes et furieusement actuel.

Morgane Imbeaud (FR)

Stereolux - Salle Maxi

Bomber le torse, tomber le masque. Amazone. Dans ce premier single d’un album à venir début 2020, Morgane Imbeaud se livre sans concession, sans maquillage. Le temps semble loin où la jeune fée folk courait ses premières scènes avec le duo Cocoon. La compositrice s’est d’abord exilée en Norvège, seule, loin des autres, plus proche d’elle, avant de revenir enregistrer tout en analogique au mythique studio Black Box, avec l’aide de Renaud Brustlein (H-Burns) à la réalisation. L’émotion à fleur de peau, Morgane Imbeaud n’est pas du genre à lever les poings sans rien y mettre dedans : « Je suis de celles qui se lèvent / Je suis de celles qui règnent », écrit-elle dans la chanson « Amazone ».

It’s Sunday (US/FR)

Trempolino

Dawnie déteste les dimanches, un jour où l’on ne fait rien. Lucas adore les dimanches : un jour où l’on ne fait rien, et où l’on peut donc tout faire. Lucas et Dawnie se retrouvent les dimanches pour tout faire et ne rien faire ensemble, et se mettent à écrire et composer des chansons inspirées de leur quotidien. Dimanche après dimanche, un album prend forme. Lucas Lecacheur, habitué des scènes parisiennes (Bad Pelicans, Lemon Swell) et Dawnie Perry, californienne exilée à Paris pour ses études, puisent leurs influences principalement chez My Bloody Valentine, Slowdive ou Jesus & Mary Chain (dont ils assurent la première partie au Trianon en juin 2018). It’s Sunday, c’est une certaine idée du shoegaze britannique des 80’s et 90’s donc, vu par le prisme minimaliste, intime et lofi du duo, qui enregistre tout lui-même.

Mauvais Œil (FR)

Stereolux - Salle Micro

Cela fait quelque temps déjà que les rythmes, les mélodies et les chants d’Afrique du Nord infusent la culture populaire française : plusieurs générations d’immigrés ont mélangé leurs sons et leurs mots à ceux de leur terre d’accueil. Mauvais Œil prend le parti de cette double identité : le jeune duo marie Orient et Occident comme les deux faces d’une même amulette – avec un œil turquoise en son centre. Leur passionnant premier EP conjugue la voluptueuse magie blanche de Sarah et la virtuosité minérale d’Alexis : deux chansons en arabe et deux chansons en français, mêlant synthés acid-house et violons orientaux (Afrita), posant sur des solos de saz – sorte de luth oriental – les mêmes effets que les guitares surf des 60’s (Asha).